J’étais bien naïf lorsque, en 2008, j’ai créé mon premier compte Twitter. À l’époque, j’en avais entendu parler via un blog américain. Puis, en 2009, je me souviens très bien avoir vu une de mes premières vidéos TED qui montrait une intervention d’un gars nommé Clay Shirky. Il expliquait que Twitter était un formidable outil pour combattre les régimes autoritaires comme la Chine. À l’époque, cette présentation m’avait enthousiasmé. 13 ans plus tard, je me rends compte que j’étais un enfant bien naïf.
Lire la suiteC’est un TGV ! Non c’est un TER !
La semaine dernière, j’ai été témoin d’un bel exemple de conflit inutile dans le train. Une personne était assise dans le train. Une autre personne est arrivée et a demandé à la première de lui céder sa place. La personne refuse « c’est un TER, on peut s’asseoir où on veut ! » La deuxième personne lui répond « non, c’est un TGV, les places sont attribuées ! » Les deux personnes avaient raison ; le train en question est à la fois un TGV et un TER.
Lire la suiteUn moment pour apprécier ce qu’on a
Cette semaine, je n’ai pas envie de parler de l’autre zozo et de son acquisition de Twitter (ou non-acquisition, personne ne sait vraiment très bien, même pas lui). Pas non plus envie de parler de politique et des élections législatives. Pas non plus envie de parler de Mac. Alors je partage avec vous une photo du lilas au fond de mon jardin, qui n’a jamais été aussi fleuri et aussi beau.
Lire la suiteAu revoir Twitter
Vous le savez probablement déjà, Elon Musk a acheté le réseau social Twitter pour « y rétablir la liberté d’expression ». Mon problème, c’est qu’Elon Musk ne défend pas la liberté d’expression, il défend la prise de contrôle de fait de Twitter par la kakistocratie. La kakistocratie, c’est le pouvoir donné aux pires personnes, celles qui n’ont aucun scrupule ni aucune morale. Pour comprendre cela, il faut bien comprendre la distinction entre le concept de « liberté d’expression » et celui de « liberté d’expression absolue » défendu par Musk.
Lire la suiteIl n’y a pas de troisième choix.
« Ni Le Pen ni Macron » implique qu’il y aurait un troisième choix. Mais ce troisième choix est purement fantasmé. À l’issue du deuxième tour de l’élection présidentielle, les Français n’auront pas Tartempion comme président. Ils auront Macron ou Le Pen. Ils auront un président qu’ils aiment ou qu’ils n’aiment pas, ou ils auront l’héritière du parti créé par d’anciens collaborateurs et qui prône la haine de l’autre. Ce n’est pas le choix entre la peste et le choléra.
Lire la suite